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Je suis: pro-Incontestable.
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L'Incontesté
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Épreuve 1 ;;
T'as l'air malade, non ?
Le monde est en proie à un cataclysme sans précédent. Une vague de zombies déferle dans les rues et attaque tout sur son passage. Vous ! Oui vous là-bas ! Vous faites bien partie de ceux qui restent ? Des petits chanceux encore debout et prêts à tout pour survivre non ? Alors bougez-vous les fesses et venez nous aider à tous les buter !

Rappel des règles

✗ Vous avez deux jours pour échanger au maximum 5 réponses rp chacun (soit 10 réponses en tout).
✗ L'épreuve se termine donc le 07 juillet à 23h59.
✗ Les réponses sont limitées à 350 mots maximum.


Binôme: Peek a Boo & Just Married

Le dé a choisi Peek a Boo pour commencer cette épreuve !


▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ ◆ ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

 
L'Incontesté
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Leone J. Chiaramonte[PaB]
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Apocalypse ou pas apocalypse, Leone a soif. Très soif. Son unique prunelle rivée sur les épaules de sa prochaine victime, le vampire savoure d'avance son prochain repas. Il faut dire qu'avec l'épidémie, c'est presque impossible de boire du sang à la source. Non seulement les humains sont un poil plus solidaires, mais en plus le sang de zombie vous fait vomir vos tripes.

Ses crocs le lancent. Il est si proche… quelques mètres à peine le séparent de sa proie, tandis que leurs pas se font écho.

Le borgne tente de se persuader que ce pauvre petit mourra pour la bonne cause. Et puis, finalement, est-ce qu'il ne fait pas oeuvre de charité, en lui accordant une mort indolore et sans risque de contamination ? Et puis, le don d’organes est obligatoire, pourquoi pas le don de soi ?

Dans son métier, on appelle ça le « déni ».

Sans un bruit, pas même un froissement de tissu, la main de Leone plonge vers l’épaule du gamin, s’arrête en plein vol et retombe finalement le long de son corps. Il y a des témoins.

Devant eux, un groupe s’arrête pour les fixer d’un air gourmand. Rectification : les restes d’un groupe. Corps décharnés, haillons tâchés de sang et membres qui pendouillent. Aucun doute possible. Des zombies.

Claquement de langue agacé. Perfetto, comme si c'était le moment. Quand est-ce qu'on le laissera boire en paix ?

C’est l’histoire d’un petit humain, d’un vampire assoiffé de sang et de zombies meurtriers.
Si ça, c’est pas le début d’une bonne blague.

— Ma que… bambino ?

Leone aurait pu abandonner le garçon à son triste sort et courir le plus vite possible à l’Agence pour aller s’enfiler une bouteille de Limoncello au royaume des morts. Mais non. Il lui attrape le poignet et le tire en arrière.

— C’est le moment où tu cours !

Il est le potentiel casse croûte du vampire - voire le dernier. Pas question de le laisser se faire siroter la cervelle par des zombies !

(349 mots)
Leone J. Chiaramonte[PaB]
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Présentation:

Hey there Zombies, it's me. Ya Boi.
Ça aurait été la prank parfaite. Une zombie-walk géante, de quoi rendre n'importe quel makeup-artist riche en une journée. Si certains passants n'avaient pas un bras en moins ou une fenêtre dans le bidon t'aurais pu y croire. Mais faut croire qu'un mec dépecé en direct a été la petite alarme nécessaire à la prise de conscience. C'est réel, c'est sensationnel, c'est entrain d'arriver juste en face de toi. Figé sur place, rire nerveux qui se débloque dans la gorge. Juste le temps de prendre les jambes à ton cou avant que des yeux de cannibale se tournent vers toi.
Echo des grognements, odeur ambiante de chair en putréfaction. Le plateau d'un film apocalyptique aurait jamais pu être aussi réaliste. Alors tu déambules au hasard des ruelles à la recherche d'un coin sans danger où tu pourras mater sans te faire croquer, téléphone en main, enregistrement en cours, pour la postérité et les likes. C'est encore plus morbide qu'Aokigahara ici, de vrais morts-vivants qui marchent sur la route, mâchoires pendantes, tripes sur le sol. Tu veux rien rater de tout ça. Coeur qui bat à tout rompre, adrénaline qui coule dans la poitrine.

T'as pas fait attention aux pas dans ton dos, regard curieux coincé sur le bout de la rue.
Portable braqué vers des zombies, à peine le temps de bien cadrer qu'on te tire vers l'arrière, phrase aux odeurs de pasta et de pesto qui sonne aux oreilles.

Martellement sur le bitume, vous courez tel Beep-Beep poursuivi par le coyote. Comment ça "Ma que" ?!
"Yo, the fuck, ralentis un peu Pizza-Pizza-Paëlla !" crié à bout de souffle.

Tu tires la main, pousses l'inconnu derrière une voiture.
Ta main brune agite ton col de t-shirt pour évacuer la chaleur. Coup d'oeil vers le borgne, rétines qui inspectent la silhouette.
"Faut pas se la jouer Speedy Gonzales mec, je voulais juste une photo."
Main qui cherche le portable pour regarder les images capturées.
Poches vides. "Ha."

(350 mots)

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Leone J. Chiaramonte
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Le bruit de leurs pas masque celui de leurs respirations, irrégulières après le sprint qu’ils viennent de taper. Juste avant de se faire éjecter du trottoir, Leone a le temps d’entendre un « Pizza-Pizza-Paëlla » vexant.

Ce type l’a pris pour le pizzaïolo de l’apocalypse ou quoi ? Plié en deux - et profondément outré -, il se demande si le mortel ne serait pas un peu limité, hypothèse que la suite de ses paroles confirme sans mal.

— Une photo ? Ma tou voulais quoi ? Un gros plan intestinal ?

Le borgne époussette élégamment son costume et retrousse ses manches, le souffle irrégulier. « Ha », qu’il dit, l’autre. Une syllabe qui tombe comme une sentence. Lourdement. La prunelle dorée du vampire fait rapidement le lien entre ses paroles et ses poches.

— Si tu me dis que tu veux y retourner…

« …je te tue de suite, ça nous évitera des complications inutiles ». C’est ce qu’il pense très fortement. Au fond de lui, l’esprit romanesque qui l’a forgé lui tord le cou. Oui, il veut défendre la veuve et l’orphelin. Non, il ne tient pas à perdre une nouvelle fois la vie en te faisant dévorer tout cru pour un vulgaire téléphone.

Sa conscience serre plus fort.

— … faut se préparer en conséquence. Ma que tou peux pas juste te pointer devant des zombies et faire un shooting, t’es au courant ?

Sincèrement ? Il en doute un peu.

D’un regard vif, Leone inspecte les lieux. Pas de zombie à l’horizon et plusieurs voitures rangées sur le trottoir. En regardant par la fenêtre de l'une d'elles, il repère un pied de biche, dans une autre, une épée en bois. Plus loin, le casque d’un cycliste a roulé à quelques mètres de son cadavre - comme quoi, il faut toujours l’attacher.

Prospection terminée, le vampire revient vers le garçon et lui tend le pied de biche avant de lui enfoncer le casque sur le crâne.

— Voilà, tou es beau comme un cœur avec ça.

Le pire, c’est que ça le fait rire.
De désespoir.

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Leone J. Chiaramonte
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Hey there Zombies, it's me. Ya Boi.

Tu le fixes, le dévisages, sourire qui se dessine sur les lèvres, sourcils qui se lèvent. C'est quoi ce type ? T'es pas un chat à c'que tu saches, il a quoi avec son "Ma tou" ? Humour balancé à la tronche. T'aimes ça, malgré les mots où piquent l'accent étranger et la situation.
Y retourner qu'il dit, le pizzaïolo. Y a un big smile qui s'installe sur ta face, les yeux qui se plissent de joyeuse surprise. T'aurais pu te récupérer un autre portable dans un magasin, c'est pas comme si un vigile y était toujours posté. Mais la carte sim, ça mec, c'est inestimable.
"Yeah yeah" que tu réponds en jetant un coup d'oeil autour de vous. Inspection à droite, à gauche, ... et le type s'est déjà cassé. "Bah attend moi, matou !"

Casque sur la tête, pied de biche dans les mains. Parfait ça, tes casquettes commençaient presque à te manquer. Tu attaches les sangles sous ton menton, clin d'oeil à Spaghetti-man pour le remercier du compliment.
Comment qu'on dit déjà ? "Gracias, si si."
Yeux qui se posent sur ses canines. En voilà un qui a pas pigé que c'était pas Halloween.

"T"vas pas me laisser partir tout seul, hein ?!" bras dans son dos, tu vous avances vers la ruelle d'un pas pressant. Ta main attrape l'avant bras du wannabe-vampire pour l'empêcher de se défiler. Arrêt au coin, tu jettes un coup d'oeil vers le sol, cherchant désespérement ton appareil. Rien de rien. Vos nouveaux amis sont toujours là, eux. Yeux vitreux, grognements, ils vous ont repérés. Y en a combien ? 3 ? 4 ? Pas une horde, mais quand même risqué.
Coup du destin, jeux de lumières, un rayon rebondit sur la coque de ton portable.
Milieu de la ruelle, égale distance entre toi, lui, les zombies.

"Couvre moi." tu serres la sangle, tête qui se tourne vers ton acolyte. Grand sourire. "Je t'offre des lasagnes si tu m'sauves encore."
T'façon personne te fera payer.

(349 mots.)
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Leone J. Chiaramonte
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Avec un peu de chance, le salut de l’humanité est sur ce maudit téléphone.

Le clin d’œil du jeune homme arrache un sourire au Sicilien, mais lorsqu’il entend « gracias, si si », il échappe un « han ! » choqué alors qu’il porte une main à son cœur, l’air profondément outré.

Moue qui s’accentue lorsqu’il se fait embarquer de force vers l’endroit de leur agonie prochaine. Le borgne ne prend même pas la peine de répondre. Finalement, la perspective d’une fuite loin de ce garçon lui semble presque plus alléchante que l’image de ses crocs dans sa chair.

Il aurait aimé retomber sur la ruelle sans les zombies, vraiment, mais ceux-ci ont visiblement décidé de faire bronzette en plein milieu du trottoir, comme s’ils attendaient le retour de leur photographe préféré.

— Cazzo... T’as un plan au moins ?

La réponse tombe rapidement. Le contraire l’aurait étonné. Le regard de Leone passe de son acolyte à sa petite épée en bois.

Ma queeee ?

Il n’a pas le temps de réfléchir - l’idée de transformer ce petit en lasagnes sanguinolentes l’a perturbé - que l'autre fonce. Les zombies réagissent rapidement et essaient de chopper le gamin, mais ce serait sans compter sur Leone, qui distribue les coups d’épée comme des baffes.

Les zombies ne s’intéressent visiblement pas à lui - il est déjà mort - et essaient d’approcher le mortel en bavant. Leone fait ce qu'il peut, mais ce qui devait arriver arrive. Un zombie lui échappe.

Mamamia.

La faute au mauvais loot, pas utile pour 2 ossements.

Le coup d’épée part d’un coup et se plante dans la cage thoracique du zombie. Aucun effet. Elle reste bloquée, telle une Excalibur nouvelle génération. Leone s’empare du pied de biche, fini de dégommer le zombie et le pointe vers les autres - c'est qui le papa, maintenant ?

— Faut qu’on se planque, une idée ?

Est-ce qu’il a récupéré son portable ?

Peut-être que son GPS a une section « Lieux incontournables en cas d’apocalypse ».


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Leone J. Chiaramonte
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Hey there Zombies, it's me. Ya Boi.

Tu fonces vers le portable, regards inquiets lancés rapidement vers les zombies qui te foncent dessus. Peut-être que t'aurais eu une meilleure idée si tu jouais aux simulateurs de jeu. T'aurais jamais pu penser que ça pouvait t'être utile un jour.
Un zombie arrive sur toi, bras projeté entre vous pour te protéger maladroitement. Retournement de situation, le borgne arrive pour te sauver la mise, tatanant à coup d'épée en bois. C'est pas tous les jours qu'il est possible de voir ça. Gloussement contrôlé, tu tentes un dérapagage contrôlé pour glisser vers ton portable. Raté, tu t'érafles le menton, des graviers plantés dans la peau.
Saint-Graal dans la main, tu t'assures qu'il est bien enfoncé dans la poche. Tête tournée vers ton sauveur goût tomate, tu siffles ta surprise en le voyant planter son arme dans un zombie.
Une idée.

"Euh... non je suis pas vraiment de ce quartier. Mais je peux demander à Siri." sourire, fier de tapoter ton portable au dessus de la poche.
Tu lui attrapes le bras avant de te mettre à courir.
Sortie de la ruelle, mais pas encore sauvés: deux zombies lèvent les yeux de leur repas. Ok, pas par là. Direction inverse. Un autre. A croire qu'il y a un rendez-vous des cannibales anonymes dans le coin. Grincement de dents. Sprint vers une autre rue, tirant toujours sur le bras de ton ami. Une entrée de métro te dit quelque chose, t'as déjà squatté un appartement pas loin. Pause de quelques secondes pour réfléchir calmement, à bout de souffle.
Tu te retournes, le lâches. Finger gun dans sa direction, grand sourire.
"Je veux la même épée, c'était trop cool."

Signe pour qu'il te suive, tu prends à droite, à gauche. Arrêt de l'autre côté de la route.
"Tu veux monter boire un café ?" sourire ironique.
Vérification anti-zombie, porte d'immeuble à quelques pas. Tu fonces dessus, épaule en avant, elle bouge pas d'un centimètre. La main s'abat sur la poignée: ouverte.
"Après vous, Dracula."

(350 mots.)
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Il est donc tombé sur le touriste de service. Leone soupire en entendant la réponse pleine d’enthousiasme de son acolyte de fortune. Depuis quand Siri est utile, à part pour trouver le premier Starbucks à proximité à la place d’un tuto bricolage ?

Mais il n’a pas le temps d’argumenter que l’autre l’embarque.

Le groupe de zombie derrière eux, ils doivent continuer à sprinter, évitant rue après rue alors que les zombies les reluquent d’un air gourmand. Il ne semble y avoir aucune issue, entre les portes fermées, les fenêtres barricadées et la bouche de métro dont s’échappe d’inquiétants gémissements.

— Ouai pas de souci, on s’arrêtera dans un magasin de jouets sur le chemin, raille le vampire.

Il aurait pu le prévenir dès le début, ça l’aurait arrangé.

Finalement, leur salut se trouve deux rues plus loin. Si l’invitation laisse à désirer - de même que sa manière d’enfoncer les portes, ou plutôt, d’échouer à les enfoncer -, Leone ne se fait pas désirer.

— Ma que rigole tant que tu peux, parce que tou va finir en spaghetti si ça continue…

Grand sourire.

Il est tout de même vachement plus beau que Dracula, même si ce boulet d’humain ne cesse de piétiner son égo.

Son œil parcourt les lieux, étonnamment vides. Les murs sont délavés et le sol repeint de tâches d’origines inconnues. Ça pue le renfermé, mais c’est un endroit sûr, c’est toujours ça de pris.

A l’étage, des grattements se font entendre, indiquant une présence. Humain ou zombie, telle est la question. Le regard de Leone se voile de panique à l’idée de devoir entamer une nouvelle fuite désespérée. Son temps sur terre est limité et il a passé des jours à trouver la proie idéale - pas si idéale que ça.

Soupir las. Il s’empare d’une latte de bois, la tend au mortel.

— Voilà ton épée.

Le vampire s'engage dans l'escalier. L’endroit est sombre, il espère que le portable a assez de batterie pour les éclairer.


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Leone J. Chiaramonte
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Sourire à Mario&Luigi, tu le suis à l'intérieur. L'odeur attaque directement le nez, plus agressive que le dernier zombie rencontré. L'une de tes mains frotte ton épaule meurtrie pendant que Dracula explore les lieux du regard. Le bras s'agite, testant la mobilité des articulations. Tout a l'air de fonctionner, la blessure n'est que superficielle. Soupir.
Un bruit se fait entendre, tu tends l'oreille, regard posé sur le Matou. Il y a quelqu'un à l'étage ?

Grand sourire malgré la situation, tu attrapes la latte de bon coeur, répondant un merci. Quelques coups dans le vent pour tester ta nouvelle arme, puis tu t'approches à ton tour de l'escalier.
"Attends" tu fouilles dans ta poche et allumes la lampe torche de ton portable. "Ce serait con de mourir en tombant dans les escaliers hein ?" grand sourire, accent irionique dans la voix. La hauteur et sa présence sur des marches plus hautes t'empêches de voir au dessus des épaules de ton interlocuteur.
Ta bouche s'ouvre, ta main s'apprête à tapoter son épaule, quand un bruit retentit de l'entrée. Un magnifique glapissement de surprise te tord le visage d'une grimace, le costume du brogne est attrapé dans une main puis tu le pousses en avant pour le faire avancer plus vite, la latte toujours dans l'autre poing.
Dernier regard en arrière après le silence qui s'impose. Pas de grognement, pas de bruit de pas. Yeux posés vers le bas, votre intrusion avait dérangé un raton laveur.

"Haha... non, fausse alerte." un coude posé sur la rambarde, sourire mal assuré, finger gun. "On peut continuer. Tiens, prends la lumière steuplait."
Portable tendu, tu lui confies ton bien le plus précieux.
Palier atteint, regard à droite, regard à gauche, vous ne faites aucun bruit, attendant le moindre signe de vie. Tu plantes ton regard dans ses yeux, ton arme bien tenue des deux mains. Coup de menton vers la porte la plus proche.

"A toi l'honneur, Gaspacho." clin d'oeil d'encouragement, tu fléchis les jambes.

(350 mots.)

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Leone J. Chiaramonte
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Comme si le bon sens illuminait enfin l’esprit de son acolyte, il allume la lampe de son portable. Bien, ça évitera de se faire surprendre par un zombie ninja planqué dans un coin. Un bruit. Les deux compères se figent.

Finalement, c’est juste un animal, sûrement aussi perdu qu’eux.

Quoique… un blaireau zombie, c’est possible ?

En tous cas, niveau discrétion, c’est un échec, entre le petit cri de surprise et les pieds du Sicilien qui se prennent dans les escaliers avec fracas. De mieux en mieux. Donc, pas d’ennemi au rez-de-chaussée, mais toujours les mêmes sons au premier.

Quand il lui tend le saint téléphone comme on le ferait avec une relique, le borgne ne peut s’empêcher de sourire. Effectivement, le garçon semble avoir reçu l’illumination.

— Merci, souffle-t-il, j’en prendrai soin.

Il faut dire qu’il a quand même risqué sa vie pour le récupérer, pas question d’avoir pris autant de risques pour rien.

Les voilà au niveau du boss final, le vampire servant visiblement de bouclier humain. Le regard de son acolyte l’incite à passer devant, suivi d’un clin d’œil.

Son œil roule dans son orbite. A la rigueur, qu’il le prenne pour le pizzaïolo de l’apocalypse, pourquoi pas, mais le toréador de la fin des temps ? Certainement pas. Il a tout de même sa fierté.

— Leone, souffle-t-il.

Prenant son courage de preux Sicilien à deux mains, Leone s’avance prudemment. Couloir de droite : RAS. Couloir de gauche : RAS. Plus que la grande pièce juste en face de vous, d’où émanent des bruits de plus en plus étranges. Reproduisant les signes incompréhensibles des films policiers, il s’avance et passe la tête par l’encadrement de la porte défoncée. Dans un coin, un zombie se cogne la tête contre un mur.

Sol effondré, zombie qui butte contre un mur en couinant de douleur.

Le pire : une chanson de Justin Bieber qui sort d’un vieil Ipod sur le sol.

Est-ce là la clef de l’apocalypse ?

(350 mots)


HRP:
Leone J. Chiaramonte
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Tout ce chemin pour en arriver là. L'arme dans la main, muscles tendus, coeur qui accélère, respiration plus rapide. Vous avez juste à sécuriser cette pièce et l'adrénaline pourra enfin retomber. Sourire surpris à l'écoute du prénom, t'en oubliais presque que vous étiez des étrangers l'un pour l'autre, passant les présentations sans vous en rendre compte. Leone, donc ? T'aimes bien.
"Ouais. Enchanté Leo." murmure agrémenté d'un sourire en coin.

C'est peut-être la dernière personne que tu verras de ton vivant Karma, qui sait ce qui vous attend dans cette pièce. Dernière petite pensée à tes proches, tu raffermis ta prise autour de la latte. T'as enfin récupéré ton portable, pas question que tes efforts soient réduits à néant en quelques secondes d'inattention. Coup sec de la tête de bas en haut en regardant les signes. T'as rien pigé mais tu fais comme si. De toute façon t'as juste à le suivre pour le moment. Tu te poses de l'autre côté de la porte, attendant un ordre ou des informations. Y a quelque chose qui cloche dans l'expression de son visage. Quoi ? Qu'est-ce qu'il a vu ? Qu'est-ce qui se passe ? Tu décides de jeter un coup d'oeil à ton tour, n'attendant pas que Leone retrouve ses esprits.
Deux zombies en mauvais état, des sons que tu ne reconnais pas, l'esprit déjà trop occupé.
Alors tu lèves les bras.
Alors tu te prépares à rentrer.

Alors tu fonces tête baissée, prêt à exploser la tête des morts-vivants qui vous font face.
Tu as pas fait attention, gamin.

T'as pas été assez attentif.


Quelques secondes à peine. Les mouvements qui ralentissent, la musique qui enveloppe tes pensées de brumes. Les yeux qui voient trouble.
Fuis Leone.
'Cause baby, oh. Baby "baby oh."
Cette fois c'est lui qui va te croquer.

(324 mots.)
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Le mot de la fin.:
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